“Sweet purple underground” est une sculpture de verre et de lumière créée et conçue en décembre 2024.
Edition numérotée 8 exemplaires
Elle fait partie d’une collection de onze pièces, intitulée “L’Homme qui plantait des lumières”, ainsi nommée en hommage au joli texte de Jean Giono, “L’Homme qui plantait des arbres”.
Cette collection explore les thèmes de la germination, de la transmission et de l’épanouissement lumineux, traduisant ainsi en matière et en clarté une quête d’harmonie et de renouveau.
Sur le plan technique, “Sweet Purple Underground” est une pièce d’une extrême complexité. Son âme en inox est minutieusement recouverte de milliers de fragments de verre, taillés, triés et assemblés à la main avec une précision d’orfèvre. L’ensemble forme une structure organiqueet lumineuse émergeant d’un pot en verre cristallisé, lui aussi entièrement façonné à la main. Deux sphères lumineuses, placées auxextrémités des tiges, diffusent une lumière aux subtiles nuances de mauve, oscillant entre le violet profond et le lilas évanescent. Le jeu d’ombres et de reflets magnifie les textures et confère à l’ensemble une vitalité presque vibrante, un équilibre saisissant entre abstraction et réalisme, entre nature et rêve.
Au-delà de sa prouesse technique, cette sculpture est porteuse d’une profonde symbolique. Au plan conceptuel, cette pièce évoque la vie et plus particulièrement la nativité. Le pot évoque la terre et sa puissance à donner vie. La partie mauve à son tour se scinde en deux pour matérialiser l’infinie démultiplication qu’est la vie. Dans une sorte d’arithmétique existentielle, on passe ainsi du chiffre 1 (le pot, la terre) à la jeune pousse vitale qui est le 2. La deuxième tête, qui est l’enfant de l’enfant, est le 3. Cette pièce évoque ainsi les trois premiers chiffres de la numération entière qui sont également les trois seuls nombres premiers consécutifs de l’ensemble de la numération de 0 à l’infini.
Dimensions : 27 cm X 18 cm X cm
Source : 2 G4 LED 3W
“Sweet purple underground” est une sculpture de verre et de lumière créée et conçue en décembre 2024.
Edition numérotée 8 exemplaires
Elle fait partie d’une collection de onze pièces, intitulée “L’Homme qui plantait des lumières”, ainsi nommée en hommage au joli texte de Jean Giono, “L’Homme qui plantait des arbres”.
Cette collection explore les thèmes de la germination, de la transmission et de l’épanouissement lumineux, traduisant ainsi en matière et en clarté une quête d’harmonie et de renouveau.
Sur le plan technique, “Sweet Purple Underground” est une pièce d’une extrême complexité. Son âme en inox est minutieusement recouverte de milliers de fragments de verre, taillés, triés et assemblés à la main avec une précision d’orfèvre. L’ensemble forme une structure organiqueet lumineuse émergeant d’un pot en verre cristallisé, lui aussi entièrement façonné à la main. Deux sphères lumineuses, placées auxextrémités des tiges, diffusent une lumière aux subtiles nuances de mauve, oscillant entre le violet profond et le lilas évanescent. Le jeu d’ombres et de reflets magnifie les textures et confère à l’ensemble une vitalité presque vibrante, un équilibre saisissant entre abstraction et réalisme, entre nature et rêve.
Au-delà de sa prouesse technique, cette sculpture est porteuse d’une profonde symbolique. Au plan conceptuel, cette pièce évoque la vie et plus particulièrement la nativité. Le pot évoque la terre et sa puissance à donner vie. La partie mauve à son tour se scinde en deux pour matérialiser l’infinie démultiplication qu’est la vie. Dans une sorte d’arithmétique existentielle, on passe ainsi du chiffre 1 (le pot, la terre) à la jeune pousse vitale qui est le 2. La deuxième tête, qui est l’enfant de l’enfant, est le 3. Cette pièce évoque ainsi les trois premiers chiffres de la numération entière qui sont également les trois seuls nombres premiers consécutifs de l’ensemble de la numération de 0 à l’infini.
Dimensions : 27 cm X 18 cm X cm
Source : 2 G4 LED 3W
